L’association Paroles de femmes continue sa campagne « Education Egalité » dans tous les Etablissements scolaires. Un programme établi par Paroles de femmes depuis quatre ans. Notre tour de France continuera dans tous les collèges du Val d’Oise en Avril/Mai puis nous partirons pour Lyon. La prévention contre les violences, agressions sexuelles et discriminations sexistes doit se faire dès le plus jeune âge. Nous interviendrons dans des classes de cinquième et de quatrième. Au cours de ces modules nous abordons la laïcité, socle de notre vivre-ensemble et la citoyenneté mais également l’histoire du féminisme français. Cette année, nous travaillerons également sur la promotion de l’ambition professionnelle chez les filles. Des intervenants, venus de grandes écoles ainsi que de nombreux professionnels participeront à ces ateliers afin de faire naître de nouvelles vocations. Des

L’association paroles de femmes a rencontré le PDG du laboratoire lyonnais des 3 chênes, Eric Favre et son égérie la sportive Nathalie Mur afin de parler de la santé des jeunes et du rapport des femmes au sport, notamment  des jeunes filles qui, d’après la dernière enquête du Ministère de la Santé, bouderaient une activité sportive à l’adolescence. Ils interviendront tous les deux en mai et en juin dans le cadre de nos modules de prévention à destination des  établissements scolaires afin de parler de la façon dont les jeunes se nourissent, de leurs rapports aux corps et du mieux être grâce au sport. A lire, comment j’ai perdu 20 kilos et changé de vie de nathalie Mur aux Editions Tribal

Mercredi, à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le Premier ministre François Fillon a désigné ce combat « Grande cause nationale 2010″. Et il y a urgence. En France, une femme meurt tous les deux jours et demi sous les coups de son compagnon. Le projet de Paroles de femmes est né du constat qu’à l’école déjà, il y a les prémices de cette violence entre garçons et filles: les insultes fusent, parfois plus. Olivia Cattan reçoit de plus en plus de demandes de collèges. Le module de prévention, qui s’étale sur un an à raison d’une heure par semaine, est conçu pour laisser une grande place à la parole de l’élève. Ainsi, les cours théoriques et les petits exercices pratiques alternent. Les jeunes

Paroles de Femmes remercie la société SND, notamment Anne Masson et l’attachée de presse du film Delphine Olivier. Grâce à elles, 20 collégiens de quartier difficiles vont pouvir aller au cinéma voir le nouvel opus, « hésitation » de la saga « Twilight ». Des places ont été offertes à l’association dans le cadre de notre travail de prévention dans les Collèges. Une très belle lettre d’encouragement signée par Robert Pattinson, comédien principal du film, avait été envoyée, il y a quelques mois à l’assocaition à destination des Collégiens.

Sexisme à l’école : Paroles de Femmes déconstruit les clichés Il est onze heures et la cloche retentit dans les couloirs du Collège Georges Rouault, à Pantin, dans le 19ème arrondissement de Paris. Comme dans tout établissement, ça chahute dans les couloirs entre deux cours. D’autant que celui qui arrive n’est pas tout à fait comme les autres. Pour la première fois depuis la rentrée scolaire, les élèves de 4ème ont rendez-vous avec l’association Paroles de Femmes. L’année dernière déjà, ils ont eu droit à plusieurs interventions. Mais aujourd’hui, c’est la reprise. Créée en 2006 par Olivia Cattan, journaliste et écrivain, l’association a pour vocation de lutter pour l’égalité hommes-femmes dans notre société. Entre autres initiatives politiques et sociales, Paroles de Femmes intervient, donc, dans différents collèges de Paris et

Cette conférence s’inscrit dans les objectifs de Paroles de femmes : Lutter contre toutes formes de discriminations et de violence par la prévention éducative dès le plus jeune âge, promouvoir la laïcité et la citoyenneté. Cette conférence s’adressera aux parents d’élèves, aux responsables éducatifs, aux Elus du 19e afin d’élaborer ensemble une réflexion commune sur « comment lutter efficacement contre les clichés et les préjugés ». Après les différentes séances au Collège Georges Brassens, nous continuons également nos modules de prévention au Collège Rouault pendant plusieurs mois dans une classe de 5e. Pour plus de renseignements sur nos modules, ou pour toute demande de la Presse, contactez-nous par mail : olivia.cattan@wanadoo.fr ou par téléphone au 06 12 29 41 05.

Cet évènement exceptionnel qui rassemblera de nombreux élèves d’écoles confessionnels et d’Etablissement laïcs ouvrira le débat sur « le mieux vivre ensemble ». Paroles de femmes dont l’un des objectifs est le dialogue des cultures souhaite être le fer de lance d’une action active et féminine en matière de lutte contre toutes les discriminations et préjugés culturels ou sexistes. Notre action citoyenne souhaite promouvoir la laïcité, valeur collective, tout en apprenant à connaitre l’autre et à cultiver nos différentes cultures ; Le mardi 16 décembre, un autre débat aura lieu à la Mairie du 19e à partir de 19h. Un débat ouvert au Public. En présence de Marek Halter qui nous parlera de son nouveua livre , la Reine de Saba et d’autres invités comme Roset, Edith Bruder… Pgoto Alain Azria A

Katioucha, le top modèle qui s’était beaucoup battu contre l’excision, et qui nous a malheureusement quitté, était en préparation d’une conférence avec notre association sur ce sujet. Voici le témoignage d’une de ses amies, Amina, d’origine camerounaise, qui avait accepté de témoigner pour notre association :  » L’excision est un moyen d’intégration sociale, un rituel, un rite de passage. Ne pas trouver un mari, ne pas faire d’enfants, c’est ne pas avoir d’avenir en Afrique. J’ai excisé ma fille avec la lame que ma mère m’a léguée. Elle a eu le tétanos et j’ai vraiment compris le sens de mon geste quand je suis arrivée en France. L’excision est une tradition que l’on transmet de mère en fille. Le manque d’éducation et la superstition ont gain de cause sur l’amour

Un jour, alors qu’elle tente tant bien que mal de faire son cours sur Molière, elle découvre une arme dans le sac de Mouss, le caïd autoproclamé de la classe. Adjani prend ses élèves en otage. Commence alors un impressionnant huis-clos où Jean-Paul Lilienfeld explore et met à nu la société. En basculant de l’autre côté pour devenir l’agresseur, Adjani pousse au dialogue avec un pistolet dans une main, le livre de Molière dans l’autre. Faut-il en arriver là ? C’est le débat. Touchée, Valérie Hoffenberg, conseillère de Paris (16e), pose d’emblée la gravité du propos : « Ce film nous dit l’urgence du dialogue. C’est un coup de poing. Encore une fois, le dialogue pour comprendre ce qu’il faut faire. » Les collégiens murmurent : « On n’est pas